Reflexologie - Niromathé
Origine et Principe de cette méthode
La méthode douce Niromathé existe depuis 25 ans, s’associe à l’ostéopathie tissulaire réflexe et à la médecine traditionnelle chinoise. C’est une réflexothérapie vertébrale et périphérique neuro-cutanée.
Son créateur, Dr Raymond BRANLY, médecin français, débuta sa carrière comme médecin généraliste puis il se tourna vers l’ostéopathie. Il apprit la chiropractie ainsi que d’autres techniques, comme la technique Sutherland, la technique de Sœur Chabrit (méthode Moneyron), la technique de Jones et la méthode Weiselfish Giammatteo.
Il s’inspire de ces différentes méthodes et il mit au point sa méthode, la méthode Niromathé.

Si la plupart des techniques ostéopathiques et neuro-cutanées vise à stimuler des points détente, énergétiques, par l’action d’acupression ou d’acupuncture (techniques de Dicke, Knap, Chapman, Goodheart, Vogler, Moneyron, NST Bowen) , la méthode Niromathé trouve son originalité en ce sens qu’elle associe une stimulation de ces mêmes points avec une traction cutanée.
Il faut comprendre qu’en même temps que se constitue une lésion ostéopathique, des points cutanés et sous-cutanés se déprogramment. Cette vibration cutanée relancera la reprogrammation des corpuscules de Ruffini présents dans la peau et ainsi rétablir la connexion de la zone douloureuse avec le cerveau.
Cette reconnexion permettra de réguler, soulager et libérer les spasmes, tensions et blocages, responsables de douleurs de types mécaniques et troubles fonctionnels.
Comment se déroule une séance de Niromathé et à qui s’adresse-t-elle ?
En travaillant uniquement au niveau de la peau, on applique une pression très légère sur des zones spécifiques du corps où se situe la douleur ou le blocage. Les mouvements sont lents et délicats, et la séance se fait le plus souvent assis ou debout. La séance dure en moyenne entre 30 à 45 minutes.
Cette méthode de soin simple et sans risque, s’adresse à tout le monde, du nourrisson à la personne âgée, en passant par les enfants et adolescents, mais aussi aux femmes enceintes.
Les effets de la séance se font sentir en moyenne 3 à 8 jours après. Une deuxième et une troisième séance, espacées de 10 à 15 jours, peuvent être nécessaires pour dissiper l’inflammation et toutes les douleurs associées ou pour réduire les troubles fonctionnels.
Après une séance, le repos est recommandé et le sport est déconseillé dans les jours qui suivent, en fonction de la problématique traitée. De plus, il faut éviter de masser, frotter, frictionner la peau dans les 3 jours qui suivent.
Quels sont les bienfaits de cette méthode et en quoi Niromathé vous aiderait ?

Cette méthode douce permet de soulager et de soigner :
- Douleurs aiguës et/ou chroniques (lombaires, hanches, cervicales, épaules, pied, main, poignet, etc)
- Tendinites, névralgies, sciatiques,
- Lombalgies, céphalées, migraines, colites, cystites,
- Douleurs liées à la fibromyalgie, à l’arthrose, aux jambes sans repos,
- Insomnies, anxiété, ronflements,
- Vertiges, acouphènes,
- Perte du goût et de l’odorat,
- Enurésie (pipi au lit), incontinence
- Pleurs du nourrisson, hernie ombilicale,
- Troubles digestifs, Reflux gastro-œsophagiens,
- Troubles gynécologiques, préménopause (bouffées de chaleur,.) et cicatrices (césarienne, sein, …)
- Troubles de la fertilité et endométriose,
- Troubles fonctionnels, troubles « DYS », etc…
Cette technique ne se substitue pas à un avis médical, ni à un traitement médicamenteux.
C’est une approche complémentaire.
Comme effets « indésirables », on constate parfois une fatigue post-séance et jusqu’à 24 heures suivant la séance. De plus, un phénomène de rebond est possible (1 fois sur 10) qui se caractérise par une aggravation des symptômes, qui ne dure pas plus de 72 heures. Cet effet rebond est de bon augure puisqu’il correspond à une correction rapide.
Faite confiance à votre corps, donnez lui la possibilité de redécouvrir sa capacité à guérir